BUSINESS COMPETITIONDès que nous travaillons, nous sommes confrontés aux questions de santé au travail et de bien-être au travail, et ce, quels que soient notre place et notre rôle (salarié, direction, instance représentative du personnel) dans une organisation. En effet, le travail a des effets sur nous, parfois insoupçonnés et surprenants, d’autres fois plus déplaisants.
Ainsi, dans les années 1970, le concept de qualité de l’emploi et du travail est évoqué pour la première fois en France, afin de répondre à une demande sociale forte visant à développer des modes d’organisation du travail innovants capables de concilier l’efficacité et l’intérêt du travail. À l’époque, l’objectif est d’accroître à la fois la satisfaction professionnelle et personnelle des salariés, tout en optimisant la performance des entreprises.
Toutefois, la santé constitue la base de la qualité de vie au travail mais n’est en aucun cas suffisante. L’épanouissement personnel qu’elle est capable d’engendrer joue également un rôle prépondérant, depuis la conciliation des temps de vie, en passant par le développement des compétences, des capacités relationnelles, de la créativité ou de la connaissance de soi.

Mais qu’entend-t-on par qualité de vie au travail ?
Le sens de cette notion varie selon les individus, leur statut, leur âge, leur genre, leur emploi, mais il est possible d’identifier un certain nombre de facteurs-clés qui apparaissent déterminants pour la qualité de vie au travail :
– Relations sociales et professionnelles : reconnaissance du travail, respect, écoute, considération des collègues et de la hiérarchie, information, dialogue social et participation aux décisions ;
– Contenu du travail : autonomie, variété des tâches, degré de responsabilité ;
– Environnement physique du travail : sécurité, bruit, chaleur, éclairage, propreté, cadre spatial ;
– Organisation du travail : qualité de la prescription du travail, capacité d’appui de l’organisation dans la résolution des dysfonctionnements, démarches de progrès organisationnel, pénibilité, charge de travail, prévention des risques professionnels ;
– Réalisation et développement professionnel : rémunération, formation, validation des acquis, développement des compétences, sécurité des parcours professionnels ;
– Conciliation entre vie au travail et vie hors travail : rythme et horaires de travail, vie familiale, accès aux services, loisirs, transports…

Alors, on peut évidemment se demander comment peut-on améliorer cette qualité de vie au travail ?
En s’inspirant de la grille d’analyse de l’agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (ANACT), on peut rappeler que le bien-être repose sur 6 piliers : sens que l’on donne au travail, charge de travail, support social, possibilité de développement personnel, reconnaissance des pairs et bien sûr une « juste rémunération ».

Mais au delà de cet aspect bien-être lié à l’organisation du travail lui-même ou aux liens hiérarchiques, une notion nouvelle de bien-être fait son apparition depuis quelques années maintenant. Nous entendons de plus en plus parlé de sociétés ayant mis en place des activités pour leurs salariés. Séances d’activités physiques, massages, conciergerie ne sont que des exemples de services de plus en plus nombreux proposés aux entreprises. Un tout nouveau secteur d’activités s’est créé avec pléthores d’offres, mais comment s’y retrouver ?

En tant qu’employeur, la première question à se poser lorsqu’on veut mettre en place de telles activités est la suivante : est-ce dans un objectif de prévention de la santé et de la sécurité ou est-ce dans un objectif de bien-être ?

Dans le premier cas, les activités devront être proposées par l’employeur sur le temps de travail des salariés, soit de manière obligatoire, soit sur la base du volontariat. Les activités proposées devront être choisies pour atteindre l’objectif initial fixé. Par exemple, si l’on souhaite réduire les accidents du travail liés aux manipulations à froid, il faudrait envisager la mise en place de séances d’échauffements avant prise de poste.

Dans le second cas, les activités proposées le seront en dehors du temps de travail. L’objectif recherché alors sera l’adhésion des salariés qui viendront participer à ces activités par plaisir. Une analyse des besoins des salariés est donc à prévoir en amont. Une fois cette analyse réalisée, une évaluation des moyens humains, matériels et organisationnels doit être menée. Le choix des activités proposées découlera de cette évaluation. Celles-ci peuvent être regroupées sous 3 grandes familles :
– Activités physiques et sportives : séances collectives de Pilates, de Zumba, etc…
– Activités de mieux-être : massages, sophrologie, méditation, etc…
– Activités de prévention : ostéopathie, diététique, etc…

L’intervention de professionnels tels que la société Panakeia est utile pour déterminer les objectifs et pour proposer des activités adaptées aux besoins et aux contraintes de l’entreprise. De plus, Panakeia met à disposition des entreprises un planning en ligne dédié sur lequel les salariés peuvent s’inscrire depuis leur ordinateur ou leur Smartphone. Enfin Panakeia gère l’ensemble des intervenants, ce qui permet de n’avoir qu’un seul interlocuteur pour l’ensemble des activités.

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